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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 09:01

Rassemblement devant le commissariat

Samedi 13 Avril à 11H00

 

 

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28 mars 2013 4 28 /03 /mars /2013 23:27

Bezons Accueillis par des insultes, des menaces et du gaz lacrymogène

Les habitants font face aux trafiquants de drogue

Maïram Guissé | Publié le 27 mars 2013, 07h00

 

Bezons, hier soir. Les habitants, emmenés par le maire (PC) de la ville (en bas au centre avec le micro) ont défié dealeurs et guetteurs dans le quartier du Colombier afin de leur signifier qu’ils en ont assez de leur commerce. Ils reviendront mercredi. (LP/Olivier Arandel.)

 

Le bruit des tambours et des sirènes retentit. Hier soir, le quartier du Colombier, à Bezons, là où règnent habituellement guetteurs et dealeurs, a été occupé par ses habitants. « Nous sommes là pour leur montrer que nous ne voulons pas d’eux. Ils doivent nous laisser vivre normalement », peste une habitante d’un des immeubles, géré par le bailleur Logirep. Devant cette longue barre où vivent 156 familles, ils sont une centaine de personnes, dont le maire (PC) Dominique Lesparre. La ville est à l’origine de cette « occupation citoyenne ». Une première manifestation a déjà eu lieu le 7 décembre.

Si cette action est « pacifiste », insiste le maire, elle a quelque peu dégénéré hier. Suivi par les riverains, Dominique Lesparre pénètre dans un des halls du bâtiment. Si le premier groupe passe sans encombre, le deuxième est bloqué par un guetteur. Mais cette première « résistance » de la part des trafiquants n’effraie pas les locataires excédés, qui forcent le passage. Un père de famille fait même face à un guetteur. Quelque peu surpris, le jeune homme s’énerve. Il insulte les habitants et menace de les frapper. Deux autres guetteurs débarquent. L’un d’eux sort une bombe lacrymogène et gaze les habitants situés dans le hall. Tout le monde doit sortir.

Ils refusent de baisser les bras

« Par cette action, ils ont vu que nous ne les laisserons pas faire de notre vie un calvaire », insiste le locataire pris à parti quelques minutes auparavant, les yeux rougis par le gaz lacrymogène. Pour autant, il refuse de baisser les bras. « Cela fait dix ans que je vis ici, jamais je n’ai connu ça. Je me battrai jusqu’au bout pour que ça cesse. Cette situation m’inquiète pour mes enfants », lâche-t-il. Alors que devant l’immeuble, les réactions d’indignations fusent, la police venue en nombre procède à huit interpellations. Les pompiers sont également présents pour soigner les personnes incommodées.

Face aux manifestants aux regards dépités, Dominique Lesparre reprend la parole. « Nous sommes allés à la rencontre de ceux qui pourrissent votre vie. Ce qui est intéressant, c’est que nous les avons débusqués des endroits où ils se cachent, se félicite-t-il. Nous reviendrons tous les dix jours. » Les habitants applaudissent. Une manifestation est programmée mercredi. Les locataires de Logirep ont aussi prévu de se rendre au siège du bailleur à Suresnes (Hauts-de-Seine), afin de l’interpeller sur « les mesures à prendre ».

 

Gardes à vue après la mobilisation citoyenne

 

Cinq jeunes étaient toujours entendus par les enquêteurs hier soir après les violences dont ont été victimes les habitants du Colombier à Bezons.

 

Maïram Guissé et Frédéric Naizot | Publié le 28 mars 2013, 07h00

 

 

 

Bezons, quartier du Colombier, mardi. La police a interpellé plus d’une dizaine de jeunes dans la soirée à la suite des violences qui se sont déroulées lors du rassemblement des habitants contre les dealeurs. Cinq d’entre eux sont toujours entendus. (LP/Olivier Arandel.)

 

Cinq jeunes étaient toujours en garde à vue hier soir au lendemain des violences qui se sont produites dans le quartier du Colombier, à Bezons. Les gardes à vue des suspects, âgés de 20 et 22 ans, originaires de Bezons mais aussi de Sevran (Seine-Saint-Denis) et Ermont, ont été prolongées sur instruction du parquet de Pontoise. Six autres jeunes, interpellés mardi soir et dont l’implication est plus limitée, ont été remis en liberté au cours de la journée.

Les policiers sont intervenus mardi soir lorsque la situation a dérapé rue Jean-Jaurés, lors de la mobilisation citoyenne destinée à chasser dealeurs et squatteurs des halls d’immeuble. Partis à la recherche d’un groupe de jeunes dans les étages, ils ont franchi une série de poubelles destinées à leur faire barrage avant de les retrouver au quatrième. L’un d’eux a tenté de passer en force, gazant les policiers, blessant l’un d’eux, avant d’être interpellé avec difficulté. Deux autres jeunes ont repoussé les fonctionnairesqui ont, au final, saisi trois conteneurs lacrymogènes et du cannabis. Les deux derniers ont eu un rôle plus effacé.

La situation n’a pas évolué depuis mardi soir


Si cette mobilisation se voulait « pacifiste », comme le souligne le maire (PC), Dominique Lesparre, ce mardi soir, elle a bel et bien dégénéré. « Les trafiquants ne s’attendaient pas à un acte de résistance des habitants. Ils ont perdu pied », analyse la ville.

Alors que Dominique Lesparre pénètre dans le hall d’un immeuble géré par le bailleur Logirep, où guetteurs et dealeurs sont « installés » depuis des mois, un groupe d’habitants qui suivait, est bloqué par des guetteurs. Les insultes, et menacent fusent. Les locataires sont gazés et doivent sortir, les yeux rougis par la bombe lacrymogène. Le maire a déposé plainte hier.

Au lendemain de ce rassemblement, la situation a-t-elle évolué? « Pas vraiment », réagit Brigitte*. De sa fenêtre, elle voit encore « le manège des trafiquants. Les guetteurs sont toujours là, et les clients affluent. En cinq minutes, c’est le douzième que je vois entrer dans l’un des immeubles du quartier », guette cette retraitée, habitante de la cité du Colombier depuis vingt ans. Mardi soir, elle faisait partie des habitants indignés. « Ils nous pourrissent la vie, alors ces actions citoyennes sont très importantes », insiste-t-elle. Si elle est mobilisée sur la question et promet de manifester à nouveau dans dix jours quand la municipalité organisera un nouveau rassemblement citoyen, elle reste prudente.

Mardi soir, elle n’a pas tenté de pénétrer avec les autres habitants dans les cages d’escaliers. « J’ai peur d’être reconnue. Il faut faire attention, sinon notre vie sera pire », martèle-t-elle. Pierre*, locataire, a été pris à parti par les guetteurs en entrant dans un des halls d’immeuble. « Je n’avais pas peur pour moi, mais pour les personnes âgées présentes », insiste-t-il. Pour lui, la mobilisation a fait un peu d’effet. « On a moins de trafiquants dans nos rues, constate-t-il. Mais le problème n’est pas résolu… Ils vont revenir en nombre très rapidement, nous en sommes conscients. » Dans dix jours, il promet de manifester.

Dominique Lesparre et son équipe restent en effet mobilisés sur la question. « Quand on est nombreux, on arrive à maintenir la pression », précise-t-il. Le combat continue.

* Les prénoms ont été modifiés

 

 

 

VO News

 

Une action citoyenne tourne mal à Bezons

 

Rédigé le 27/03/2013 - 0 Commentaires

 

Onze jeunes, dont trois mineurs, ont été interpellés mardi soir vers 20h, dans le quartier du Colombier à Bezons. Les individus ont malmené des riverains qui participaient à un mouvement citoyen organisé par la ville.

 

Mardi soir, des riverains se sont rassemblés dans le quartier du Colombier à Bezons pour exprimer leur exaspération des dealers et des guetteurs. Mais l’action citoyenne, en présence du maire communiste Dominique Lesparre, dégénère quand les riverains tentent de rentrer dans le hall de l’immeuble au 4 rue de Pontoise. Des jeunes font usage de bombes lacrymogènes contre les habitants. Selon les pompiers, neuf personnes ont été intoxiquées.

 

Les policiers alertés par les riverains arrivent sur place. Ils progressent dans les étages. Arrivés au quatrième, les fonctionnaires font face à cinq individus virulents. L’un deux tente de passer en force et gaze les agents de police. Deux autres poussent les policiers. Tous finissent par être maîtrisé. Les policiers saisissent trois conteneurs de gaz lacrymogènes.

 

 

 

Au total, onze jeunes âgés de 15 à 20 ans ayant participé à des degrés divers à l’altercation, ont été interpellés et placés en garde à vue. Ils sont originaires de Bezons, Pontoise, Paris, Sevran (Seine-Saint-Denis), Nanterre (Hauts-de-Seine) et Houilles (Yvelines). Mercredi en fin d’après-midi, ils étaient encore tous en garde à vue.

 

 

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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 22:33

 

 

 

BAROMÈTRE EXCLUSIF LA GAZETTE - PRAGMA - EMPLOIPUBLIC.FR

Bien-être au travail dans la fonction publique territoriale : les clignotants passent au rouge

 

Voir le dossier paru dans la Gazette : http://www.lagazettedescommunes.com/159842/bien-etre-au-travail-dans-la-fonction-publique-territoriale-les-clignotants-passent-au-rouge/

 

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 22:33

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 22:21

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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 19:13

Les Caisses d’allocations familiales en surchauffe

En raison de la crise et du manque d’effectifs, les délais d’attente pour avoir accès au RSAou aux aides au logement peuvent atteindre plusieurs semaines.

Valérie Hacot | Publié le 16 mars 2013, 07h00

 
                                                               
Submergées… Partout en , les Caisses d’allocations familiales (CAF) sont au bord de l’implosion. Les dossiers en souffrance s’accumulent et les délais d’attente pour les usagers s’allongent. Près de vingt jours de retard dans le Val-d’Oise, plus de dix-huit jours à Marseille (voir infographie)… Dans — presque — toutes les caisses de , le constat est le même. « Quatre-vingt-neuf caisses sur 102 sont en difficulté », affirme Patrick Brillet, administrateur Force ouvrière de la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf).

L’aggravation de la économique et la montée en flèche du chômage poussent de plus en plus de personnes à se tourner vers les services de la CAF pour obtenir, outre leurs allocations familiales, un RSA ou des aides au logement. L’année dernière, pas moins de 18,2 millions de personnes se sont ainsi pressées devant ses guichets.

Résultat, l’administration a de plus en plus de mal à faire face. Et cela devrait durer. « D’habitude, nous sommes confrontés à des pics d’activité ponctuels qui entraînent des retards, en janvier par exemple, lors des revalorisations des allocations. Mais depuis quelques mois, ce problème est devenu structurel », constate Jean-Louis Deroussen, le président du conseil d’administration de la Cnaf (lire ci-dessous), qui a envoyé la semaine dernière une lettre au gouvernement pour dénoncer « la charge de travail insupportable des agents ».

De nombreux sites — comme celui de Marseille depuis le 11 mars et ce, pour une période de deux semaines — ferment pour traiter les centaines de milliers de dossiers en attente. « A Paris, on met en place les fermetures tournantes : une CAF ferme une journée complète par semaine », explique Arnaud Leborgne, de la CGT de la CAF de Paris.

De quoi jouer avec les nerfs des usagers. La CAF assure que les indemnisations sont versées en temps et en heure, mais les allocataires doivent tout de même s’armer de patience dès qu’ils veulent se faire ouvrir de nouveaux droits ou demander des modifications. Plusieurs semaines de délai en général sont nécessaires avant d’obtenir gain de cause… « Cela entraîne des tensions et de l’agressivité. La semaine dernière, un allocataire est venu armé de deux couteaux dans une CAF de Paris », poursuit Arnaud Leborgne. Le syndicat, qui réclame la création de 2000 postes supplémentaires en France, lance d’ailleurs un appel à la grève pour le 2 avril afin de protester, notamment, contre les conditions de travail.

Le sujet est en tout cas d’une actualité brûlante. Lundi, la ministre de la Famille, Dominique Bertinotti, recevra le conseil d’administration de la Cnaf en vue de préparer la nouvelle convention d’objectifs et de gestion entre la Cnaf et l’Etat, une véritable feuille de route pour l’institution. Les représentants des CAF réclament plus de moyens. Pas sûr qu’en ces temps de disette budgétaire ils obtiennent gain de cause.
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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 10:32
9 mars 2013 à 11:35
un slogan peint lors d'une manifestation, à Paris, contre la réforme des retraites de 2010.
un slogan peint lors d'une manifestation, à Paris, contre la réforme des retraites de 2010. (© Benoit Tessier / Reuters)       

Selon un sondage Ifop, ils sont 60% à s'opposer à un nouveau recul de l’âge de départ au-delà de 62 ans et 57% contre l’allongement de la durée de cotisation au-delà des 42 annuités,

Libération

Les Français se montrent majoritairement hostiles à tout nouvel effort supplémentaire concernant la réforme des retraites, le refus le plus net (60%) concernant un nouveau recul de l’âge de départ au-delà de 62 ans, selon un sondage Ifop pour Sud-Ouest Dimanche.

L’opposition est forte également sur l’allongement de la durée de cotisation au-delà des 42 annuités, avec 57% de «pas favorables». L’opinion est un peu plus partagée pour ce qui est de l’augmentation des cotisations retraites payées par les employeurs et les salariés, 48% de «favorables», 52% d’«opposés».

En avril 2003, selon Sud-Ouest Dimanche, avant la première loi Fillon, seuls 30% des Français étaient d’accord pour reculer l’âge de départ après 60 ans. En mai 2010, avant la seconde réforme, cette proportion est montée à 43%, et aujourd’hui, 40% sont favorables à un nouveau recul. De la même façon, sur l’allongement de la durée de cotisation au-delà des 42 annuités prévues à l’horizon 2020, les chiffres sont stables par rapport à 2010 (43% contre 46%) et en progrès par rapport à avril 2003 (36%). L’évolution la plus spectaculaire concerne l’adhésion à l’augmentation des cotisations retraites qui est passée de 28% en mai 2010 à 48% cette année.

Dans le détail, on retrouve un certain nombre de clivages déjà perceptibles en 2010. Le premier, très marqué, est d’ordre générationnel. Quand 58% des 65 ans et plus sont favorables à un recul de l’âge de départ à la retraite au-delà de 62 ans, cette proportion est en moyenne de 35% dans toutes les autres tranches d’âge qui, elles, seront concernées.

On constate aussi que le clivage politique se retrouve également mais pas sur toutes les mesures. Sur l’allongement de la durée de la vie au travail, les sympathisants de droite sont majoritairement favorables: 56% en faveur du recul de l’âge de départ contre 32% parmi les proches du PS.

Sondage réalisé par téléphone du 7 au 8 mars 2013 auprès d'un échantillon de 1.005 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus et selon la méthode des quotas.

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9 mars 2013 6 09 /03 /mars /2013 00:00

atdLa campagne d'A.T.D.quart monde sur les idéees reçues remet les pendules à l'heure. Sur son site : http://www.atd-quartmonde.fr/Les-idees-fausses-ca-suffitcelles-ci  sont battues en brèche. Intéréssante initiative. Une simple remarque : ce ne sont pas nos préjugés mais le combat idéologique, le manque de perspectives politiques qui font que, parfois, souvent les gens se trompent de cible.

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7 mars 2013 4 07 /03 /mars /2013 23:26

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7 mars 2013 4 07 /03 /mars /2013 00:04

Femmes contre l'austérité

et pour l'égalité

 

Nous les femmes, nous sommes au premier rang des bas salaires, du temps partiel imposé et de la pauvreté. Nos métiers ne sont pas valorisés et leurs pénibilités ne sont pas reconnues.

Nous les femmes, nous sommes la majorité des salariés de la Fonction publique et des collectivités territoriales. Nous sommes aussi les premières utilisatrices des services publics comme celui de la santé et du logement.

Nous les femmes, sommes les premières à payer les conséquences de la politique d’austérité, nous refusons de trinquer !

 

A l’occasion de la Journée Internationale des femmes

Les femmes au travail

prennent la parole

Témoignages Échanges Débat

Le samedi 9 mars 15h à 19h

 

Espace Nelson  Mandela

82 boulevard du Général Leclerc (Ex avenue Lénine)95100 Argenteuil ( Bus RATP lignes N° 34 et N°9 )

 

 

Venez nombreuses et nombreux

Après un moment convivial

Café, gâteaux, jus de fruits

 

Organisé par  « Femmes Égalité » avec la participation des syndicalistes de la Cgt

femmesegalite@yahoo.com www.femmes-egalite.org

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