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2 mars 2013 6 02 /03 /mars /2013 20:27
Une exposition remarquable est présentée dans le hall de l’hôtel de ville d’Argenteuil de ce 1er mars au jeudi 21 mars prochain.
ADAGP Paris 2012
      Ce n’est pas une exposition sur la Guerre d’Algérie. Elle a un cadre plus large. Elle commence par la manifestation parisienne sanglante du 14 juillet 1953 pour s’achever à la veille de 1968.
      Réalisée par un groupe d’universitaires spécialistes de l’Algérie, l’exposition présente un nombre très importants de documents exceptionnels.
     Il est question de la vie des travailleurs algériens en France, de l’activité des nationalistes, des rivalités sanglantes entre le MNA et le FLN, de la répression policière, des Appelés, de la vie ouvrière, des réactions de solidarité du PCF, du PSU, de l’Unef, du retour des Rapatriés, etc.
     Il faut venir voir cette exposition, y amener vos proches, les anciens comme les jeunes générations. S’intéresser au passé, c’est toujours répondre à deux questions en particulier : Comment les choses auraient pu se passer autrement ? Quelles marques de cette histoire sur la société française d’aujourd’hui ?
     Pour ma part, je suis prêt à organiser des visites guidées de cette exposition. Me joindre.
                                                  
Dominique MARIETTE
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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 19:52

Fr.N. | Publié le 27 févr. 2013, 07h00

 

Deux syndicats de police qui entourent un maire communiste: la situation est assez inédite pour situer la vigueur de l’opposition à la transformation du commissariat de Bezons en un simple poste de police. Un projet lancé par la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP) qui provoque une riposte : campagne d’affichages, pétition et manifestationdevant le commissariat le 13 avril prochain. « On envisage de l’occuper », prévient Dominique Lesparre, le maire.

« On parle d’une quinzaine de policiers seulement qui resteront à Bezons. Les quarante-cinq autres seront rapatriés à Argenteuil. Ceux qui ont pris cette décision n’ont pas l’air d’avoir pris conscience de l’évolution de la ville », estime le maire, qui laisse entendre que ce transfert de fonctionnaires servira à la mise en œuvre de la zone de sécurité prioritaire (ZSP) à Argenteuil. « Les policiers de Bezons sont très attachés à leur circonscription et ils font du très bon travail », note pour sa part Ludovic Collignon, secrétaire départementale d’Alliance. « Il faudrait au contraire augmenter d’une trentaine de fonctionnaires le nombre de policiers à Bezons pour que cette circonscription fonctionne normalement. » « Quand on connaît Argenteuil, on imagine bien que les interventions y seront prioritaires, au détriment de Bezons », estime Frédéric Puype, de SGP-Police. « Au service du public, dehors, il n’y aura jamais personne », pronostique Dominique Lesparre.

Le projet sera examiné au second semestre mais pour Pascale Dubois, la directrice de la DDSP, il permettra au contraire, en mutualisant les moyens, « d’avoir une présence plus importante sur la voie publique ». Selon elle, ce projet n’a aucun rapport avec la ZSP. « Il est hors de question de faire moins sur Bezons », ajoute le préfet, Jean-Luc Névache.

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16 février 2013 6 16 /02 /février /2013 10:08

 

D.P. | Publié le 16 févr. 2013, 07h00

 
 Saint-Ouen-l’Aumône, le 11 février. Le musée de l’Education a licencié 4 salariés après avoir perdu 70% de la subvention versée par le département. Saint-Ouen-l’Aumône, le 11 février. Le musée de l’Education a licencié 4 salariés après avoir perdu 70% de la subvention versée par le département. (LP/L.A.)
Les désengagements financiers du département du Val-d’Oise dans des domaines qui ne sont pas de ses compétences, mais auxquels il contribuait jusqu’à présent, ont déjà commencé et ne cessent de s’allonger. L’objectif est clairement affiché, à savoir réaliser des économies.

Le musée de l’Education

Lors de la dernière séance plénière des 39 élus du département, il a été décidé de ramener la contribution annuelle du département de 100 000 € à 30 000 €. En conséquence, 4 des 7 employés ont été licenciés. Désormais, le musée de Saint-Ouen-l’Aumône fonctionne au ralenti, il n’est plus accessible que sur rendez-vous.

La base de loisirs

Le fleuron touristique du département à Cergy-Neuville a vu sa subvention de 840 000 € annuels rognée de 100000 € depuis trois ans. Une somme uniquement consacrée au fonctionnement, tandis que les investissements sont du ressort de la région Ile-de-.

Le Samu

La subvention aux services d’appel d’urgence (15) a été ramenée de 600 000 à 300 000 €.

Le transport des lycéens

Le conseil général a annulé sa contribution au de la carte de transport Imagine, des lycéens non boursiers. Pour 2 zones, les tarifs sont passés de 161 à 314 € pour un jeune.

Les centres d’information et d’orientation

Suppression de 2 des 6 centres financés jusqu’à présent par le département, qui permettent aux collégiens de s’informer sur leur avenir.
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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 07:03
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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 10:14
 
Bernard Dupin « Mieux vaudrait créer un pôle public financier. »

  

administrateur CGT au sein du groupe La Poste.

 

Depuis l’annonce de la création d’une société pour financer les prêts aux collectivités locales, détenue par la Banque postale et la Caisse des dépôts et de consignation, suite au démantèlement de Dexia, on reste dans le flou. On sait par contre que les postiers et les usagers vont payer le prix. Lors du dernier conseil d’administration, l’utilisation de l’argent du Livret A pour alimenter la société de financement de prêts a été évoquée. Mais l’encourt du Livret A n’est pas censé servir à cela. Il doit être utilisé pour la construction des logements sociaux. La création de cette société, qui va récupérer une partie des crédits toxiques de Dexia, change la stratégie de la Banque postale, qui n’est pas de financer les prêts aux collectivités. D’autant que la banque est déjà fragilisée par les emprunts souverains, avec des risques sur les emprunts italiens.

 

Il faut siffler la fin de la partie des dérives financières du capitalisme. C’est pour cela que nous souhaitons la création d’un pôle financier public dont nous parlons à chaque conseil d’administration. Il y a maintenant urgence ! Plutôt que de créer une nouvelle société de financement, il faudrait créer un pôle qui regroupe la Banque postale, la Caisse des dépôts et ses filiales, la Banque de France, la Banque du développement des PME entre autres. Ainsi, les établissements pourraient répondre aux besoins de la population plutôt que de répondre aux besoins de la finance. Par exemple, la Caisse des dépôts accorde de moins en moins de crédits pour les constructions de logements sociaux depuis 2007. Les liquidités des banques doivent servir avant tout à la relance économique.

 

Propos recueillis par Cécile Rousseau

 

 


URL source: http://www.humanite.fr/social-eco/bernard-dupin-%C2%AB-mieux-vaudrait-creer-un-pole-public-financier-%C2%BB-481328

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8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 20:00

 

L’observatoire de la laïcité saisit le tribunal administratif

 

Publié le 08.02.2013, 07h00

 

L’observatoire de la laïcité du Val-d’Oise vient de déposer un recours devant le tribunal administratif de Cergy. Il conteste la décision du conseil municipal d’Argenteuil du 3 décembre portant sur la création d’un conseil des cultes et d’une Journée des spiritualités « et accordant des baux emphytéotiques à des associations cultuelles », précise l’observatoire dans un communiqué. « Créer un conseil des cultes pose un problème central […] et revient sur le principe de séparation des églises et de l’Etat », écrit l’observatoire. Cette délibération avait été votée de justesse par 27 voix pour, 23 contre et une abstention.

 

Le Parisien

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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 07:05

Paul Collins | Publié le 04.02.2013, 07h00

Le nombre d’allocataires comptabilisés dans le Val-d’Oise par la Caisse d’allocations familiales (CAF) est en augmentation constante : leur nombre a bondi de 12% en dix ans, pour atteindre 198000 bénéficiaires en 2012, selon les statistiques dévoilées récemment par l’administration.

L’activité ne ralentit pas, bien au contraire. Plus de 2,2 millions de pièces à traiter ont été reçues par courrier en 2012. Par rapport à l’année précédente, cela représente 8% de plus. Et les téléphones n’ont pas pour autant cessé de sonner : 305027 appels ont été traités, soit 50000 de plus qu’en 2011. Par ailleurs, 280000 personnes ont été reçues dans les centres d’accueil. Côté finances, les dépenses ont été colossales : 1,2 Md€ versés en prestations familiales et 70 M€ de subventions d’action sociale dans le Val-d’Oise. Des chiffres qui « justifient notre rôle d’amortisseur social », indique Hadda Delarue, présidente du conseil d’administration de la CAF 95.

Le site va être amélioré

Dans la pratique, cette activité importante a pu se faire ressentir par un public qui attend parfois « un mois ou deux une réponse à un courrier ou bien le versement d’une allocation qui tarde », reconnaît-on à la CAF. « Les conditions du traitement global du revenu de solidarité active (RSA) ne sont pas satisfaisantes, car réalisé sans moyens supplémentaires en personnel », avoue la présidente.

Les allocataires ont pu en faire les frais avec les fermetures ponctuelles des deux antennes d’Argenteuil et Sarcelles, jugées nécessaires pour assurer le traitement des dossiers. La CAF espère alléger la charge de travail en encourageant les allocataires à recourir au site Internet, qui devrait être amélioré cette année.


Le Parisien

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26 janvier 2013 6 26 /01 /janvier /2013 22:16

christophe lefevre | Publié le 26.01.2013, 07h00

Auvers-sur-Oise, hier matin. Les grévistes sont rassemblés devant les grilles depuis jeudi. Ils réclament notamment une augmentation de salaire et un treizième mois. | (LP/C.L..)

La température glaciale n’a pas refroidi les ardeurs des salariés des matelas Benoist. Depuis jeudi, une trentaine d’employés de cette entreprise d’Auvers-sur-Oise de 88 personnes sont en grève et manifestent devant les grilles de l’établissement, rue François-Mitterrand. Ils condamnent notamment des propos racistes tenus par un employé. « En 2013, on ne peut plus se faire insulter de sale nègre, tempête Djenaba. On se sent aplatis. Mais nous ne sommes pas des esclaves. Si le patron ne fait rien, c’est qu’il cautionne. Mais nous avons notre dignité. »

« Nous en avons marre de faire l’objet de discriminations, souffle Mouhamadou Tall, délégué syndical
CGT. Il faut respecter les gens. » Il s’agit du deuxième conflit social dans l’histoire de cette entreprise familiale créée en 1971. Un précédent avait eu lieu en 2011, lorsque la direction avait contesté les résultats des élections des délégués du personnel.

La direction refuse de négocier « sous la menace »


Les grévistes, qui ont reçu hier le soutien des élus PCF et Front de gauche, demandent également une augmentation de salaire de 200 € net par mois pour tous les salariés, une prime de vacances, un treizième mois de salaire complet ou encore la prise en charge à 100% de la
mutuelle par l’employeur.

Hier matin, une délégation a été reçue par la direction. Mais cette dernière refuse de dialoguer « sous la pression de la grève ».

« Nous avons pris connaissance des revendications des grévistes et nous entendons négocier ces points dans le cadre de la négociation annuelle obligatoire, dont la première réunion devait se tenir vendredi, explique Pierre Vergnaud, le directeur des ressources humaines de Benoist. Ce conflit vient impacter le processus, mais nous voulons échanger dans un climat serein et normal. » Concernant les accusations de racisme, l’entreprise joue la carte de la fermeté. « Il n’y a aucun problème de racisme dans l’entreprise, et nous condamnons ce genre de propos, martèle le DRH. Nous avons d’ailleurs débuté une procédure disciplinaire à l’encontre du salarié mis en cause. »

Le Parisien

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23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 20:33

  

PSA Aulnay en grèvePSA Aulnay en grève

 

Les salariés de PSA Aulnay, soutenus par les syndicats CGT, CFDT et SUD, sont en grève reconductible depuis le 16 janvier 2013.

 

http://www.soutien-salaries-automobile-93.org/ 

 

Visitez le site : http://cgt-psa-aulnay.fr/

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15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 21:00

Collectif de soutien aux sans papiers du Val d’Oise

FAUT-IL MOURIR POUR DES PAPIERS ?

Rassemblement

MERCREDI 16 JANVIER à 12H

Devant la sous-préfecture d’Argenteuil

pour la

Régularisation de tous les sans papiers

 


La CGT suit avec attention et inquiétude l’évolution de la situation des travailleurs sans papiers en grève de la faim à Lille.

 

Nous respectons le courage individuel de chacun de ces salariés, tout en réaffirmant que la grève de la faim n’est pas un mode d’action que le syndicalisme partage. Les vrais responsables de leur situation de travailleurs « au noir », donc sans aucun droit, c’est à dire leurs employeurs, sont « oubliés », exonérés de leurs responsabilités.

 

Pourtant les richesses créées par le travail de ces salariés sont bien réelles. Leur travail est bien réel. Faut-il continuer à ignorer voire réprimer ou désespérer des travailleurs sans droits ou faut-il les aider à conquérir les droits que des générations de luttes sociales ont construits dans notre pays ? Faut-il accepter que le marché du travail continue de se dégrader, avec une utilisation de plus en plus large de travailleurs sans droits ou faut-il réellement lutter pour que tout travailleur en France ait au moins un contrat de travail et aux normes françaises ?

 

La CGT demande qu’une mesure de régularisation humanitaire soit prise en faveur des grévistes de la faim de Lille.

 

La CGT demande la reprise des discussions avec les ministères du Travail, de l’Intérieur et du Budget permettant la sortie du travail « au noir » des travailleurs migrants sans papiers qui y sont contraints.

 

Car si la situation des salariés sans papiers « avec bulletins de paye » est maintenant reconnue avec la circulaire du 28 novembre 2012, il n’en reste pas moins que le sujet des travailleur-e-s sans papiers contraints au travail au noir reste entier, comme nous le disions dès notre communiqué du 30 novembre 2012.

 

Il est urgent que ces salariés se mobilisent, comme ont déjà su le faire, avec la CGT, des milliers de travailleur-e-s sans papiers.

 

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